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Tête-trophée
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Paris, musée du quai Branly - Jacques Chirac
http://www.quaibranly.fr/
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Mots-clés:
tête réduite
art amérindien
relique
boucle d'oreille
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Plus d'infos
À propos de l'œuvre
Titre:
Tête-trophée
Techniques:
poix (technique)
plume d'oiseau
coton (étoffe)
Numéro d'inventaire:
71.1950.87.1
Detail:
Les Mundurucu coupaient la tête de leurs ennemis et aussi celles de leurs compagnons morts sur le champ de bataille. Les têtes des ennemis étant considérées comme des trophées et celles des compagnons comme des reliques. Les Mundurucu dépouillaient la tête de la chair, des muscles et des dents et vidaient la boîte crânienne. Ils ne réduisaient pas la tête et ils ne la dépouillaient totalement comme les Parintintin. La tête était soigneusement lavée, enduite avec de l'huile de carapa (Carapa Guyanensis Aubl.) et puis, bourrée. Pendant quatre années, le guerrier possédant une parinaa avait droit à une pension. Quand les 4 années étaient écoulées, on célébrait une grande fête au cours de laquelle les têtes étaient portées au bout d'une lance (parinarenape) ou bien suspendues au cordon. La fête (pariauae_ra) terminée, le trophée perdait son importance.
Musée:
Paris, musée du quai Branly - Jacques Chirac